voici l'homme
ange approche de l’apparition son armure s’effrite lentement une fleur de grâce s’est glissée en son sein l’œil nous regarde, pourri, et enfin, nous nous aimons mon cœur se vide comme crépuscule au soleil aucun boudha ne sied plus dans mes mains s’écroulent sur nous des collines d’amour a-t-il trébuché sur le pont qui rassemble les eaux de l’être et du sommeil ! tranchons les grappes au vol, au sabre, en jouant enfant songe : pêche, pêche ! grande est la mer mais sans noyau oui, oui, oui, murmure de l'herbe où es-tu, où sommes nous oui, oui, oui, murmure de l'herbe seulement à travers les feuillages les verts miroirs peuvent embrasser la peur de la lumière nuit de cadavres tirés, par les cheveux, dans la nuit,
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