voici l'homme
le bourg s’approche paisiblement, fumée bleue devine les volutes mais dieu si tu n’es, peux-tu au moins rêver ! silence, silence sans finitude avec de larges mouvements de crabe et puis, au soleil, pour des milliers d’années nous sècherons nos blessures fleurs ramassent et taisent ciels aux soubresauts de grandes transparences croix s’en vont droites - comme elles peuvent par intermittence j’invoque l’or avec vous
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